Soirée avec les 2 vedettes de l’Olympia

Vendredi 9 juillet à” la Rosée du Matin” à NABINALS:  Soirée prestigieuse avec les deux vedettes de l’accordéon ayant foulé la scène de l’Olympia.

 Musicien de renommée internationale, chef d’orchestre prestigieux, compositeur de nombreux succès parmi lesquels “les Fiancés d’Auvergne”, 75 millions de disques vendus, 30 ans de radios, 80 années de carrière pour l’accordéoniste André VERCHUREN, accueilli par la reine de l’accordéon, Sylvie PULLES à la Rosée du matin à NASBINALS en Lozère ce vendredi 9 juillet 2010 .Les fans et danseurs ont pu apprécier André VERCHUREN qui ,à l’aube de ses 90 ans à fait vibrer son piano à bretelles , accompagné par Sylvie PULLES et son grand orchestre.Après s’être produite au Zénith, au Balajo et au casino de Paris, c’est à l’Olympia que la reine du folklore Auvergnat a choisi de fêter ses 25 ans de carrière. Elle nous fait le plaisir de nous faire  partager cette joie tout en accompagnant son collègue et ami André VERCHUREN.

La présentation de ce show était assurée par l’inconditionnel de l’accordéon, Christophe (l’animateur de l’émission “Millésime musette” sur TOTEM tous les dimanches matin.)

Des membres du groupe Cabrettes et Accordéons des Burons de PAILHEROLS avaient fait le déplacement pour y rencontrer ces deux vedettes.

1956 André Verchuren à l’Olympia

André VERCHUREN est le premier accordéoniste à avoir été en vedette à l’OLYMPIA à PARIS. Avec le célèbre chanteur fantaisiste Dario MORENO et l’imitateur vedette de l’époque Claude VEGA. Il y est resté à guichets fermés pendant 3 semaines du 4 au 26 Octobre 1956.

2010 Sylvie Pullès à l’Olympia

Sylvie Pullès, l’accordéoniste auvergnate a gagné son pari de remplir l’Olympia, le samedi 8 mai où elle a fêté sur scène ses 25 ans de carrière. Auvergnats de Paris et d’ailleurs, amateurs d’accordéon et de musique traditionnelle, ils sont venus plus de 2 000 pour faire la fête à Sylvie Pullès ! 

Pari gagnant, Paris gagné

Le ton était donné dés la première partie par les groupes folkloriques auvergnats de Paris, dont «Cabrettes et cabréttaïres», la superbe chorale de «La bourrée de Paris» et la danse des enfants.

Sylvie avait concocté un spectacle, présenté par Pierre Bonte, digne des plus grands moments d’émotion qu’a connus cette salle mythique. Alors que défilaient en fond, sur écran géant, les moments forts de ses 25 ans de carrière, elle a pu faire partager sa joie d’être sur scène à sa famille et ses amis. Sa cousine Anaïs a interprété «Je suis malade» avec sa voix chaude et puissante. Wazoo, reconstitué spécialement à la demande de Sylvie, a fait se lever la salle en chantant «La manivelle». Le directeur de l’Olympia a même eu quelques frayeurs, lorsque Sylvie s’est mise à jouer le «Brise Pied» et que les spectateurs se sont mis à danser comme des fous, y compris ceux des balcons, les faisant trembler sous leurs pieds. Et que dire du service d’ordre qui a vu, médusé, les danseurs de gigue inviter des spectateurs à venir danser sur scène !

Emilio Corfa, le normand, et Jacques Besset, l’aveyronnais de l’Oise, se sont mis au diapason lors de duos avec Sylvie. Elle a été accompagnée toute la soirée par un orchestre composé de 4 cordes, 3 cuivres, 4 cabrettes, basse, batterie, guitare, piano, dirigé par Sébastien Farge, l’ami d’enfance et co-pensionnaire avec Sylvie, en 1987, dans «les petits prodiges de l’accordéon».

C’est une salle comble et comblée qui a fait un triomphe à Sylvie Pullés, avec un long rappel debout après ses deux heures de  représentation  et une soirée qui en aura duré plus de trois.

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